Jean-Claude Chirollet


Responsabilité éditoriale

Directeur de la collection Art, Philosophie, Humanités numériques, aux éditions Connaissances et Savoirs, Paris. Conseil éditorial auprès des auteurs de la collection.

Domaines de recherche

1. Esthétique et théories des arts, principalement dans leur rapport aux technosciences de l’information et à la mémoire photo-numérique. La réception esthétique des arts, à l’époque de la numérisation généralisée et de la diffusion en réseau des arts de toute catégorie.

2. Questions d’esthétique et de philosophie médiévales, examinées à travers l’étude comparée et la traduction de certains écrits d’Eckhart (1260-1327) en langue latine et en moyen-haut allemand (mais aussi, plus largement, d’auteurs rhénans du Bas Moyen-âge). Le passage de la langue latine médiévale à la langue allemande vernaculaire, et inversement, comme « opérateur » de l’expression esthétique. Questions philosophiques posées par le rapport entre latin médiéval et moyen-haut allemand, plus particulièrement à travers les écrits d’Eckhart.

Publications

Livres en nom propre

 

couverture de livre

Photographie et Fractalité - Photologie fractale", éditions L'Harmattan, Paris, Collection Champs visuels, septembre 2020, 262 pages avec 15 illustrations en couleurs et noir-et-blanc.

Depuis l’invention du daguerréotype (1839) jusqu’aux technosciences de l’intelligence artificielle, les pratiques photographiques n’ont cessé de se complexifier. La numérisation des images, mais aussi les croisements et les interactions de la photographie « argentique » (analogique) avec les traitements logiciels, sous-tendent un univers hybride d’images et d’expérimentations photographiques orientées par des conceptions fractalistes, analogues à celles qui déterminent la création numérique des figures fractales.

 

 

 couverture du livreEsthétique du détail (Peinture-Photographie), Paris, Connaissances et Savoirs, collection « Art, Philosophie, Humanités numériques », 2016, 204 pages.

La photographie a engendré une esthétique très novatrice – mais équivoque – du « détail », qui rompt de façon radicale avec l’esthétique classique de la peinture. Un détail photographique demeure irréductible à une partie ou à un élément inséparable de la totalité unifiée d’une image, car la photographie, en raison de la « techno-logique » qui la sous-tend, produit une autonomisation absolue du détail. Mais, à cause des processus technologiques qu’elle utilise, des formes imprévisibles et innombrables d’émergence du détail sont apparues. La capture et le traitement logiciel des images digitales ont même considérablement renforcé l’arbitrarité du détail, y compris – et en particulier – quand la photographie s’empare des « détails » propres à la peinture.

 

couverture du livrePenser la Photographie numérique. La mutation digitale des images, Paris, L’Harmattan, collection « Ouverture Philosophique », 2015, 210 pages.

La photographie numérique et les techniques de numérisation des images ont modifié radicalement la conception et les usages en tout genre de la photographie. De l’invention du daguerréotype au dix-neuvième siècle, jusqu’aux images digitales qui adoptent le statut technologique de fichiers informatiques, le chemin parcouru par la photographie a métamorphosé intégralement la nature des images, et la manière dont elles sont fabriquées et utilisées. Malgré cela, la photographie argentique demeure une référence de valeur pour les praticiens de l’imagerie digitale. En effet, le croisement logiciel entre les deux types d’images – analogiques et digitales –, produit des images « hybrides » marquant une interaction féconde entre les deux formes de technologies photographiques.

 

couverture du livreL’Œil digital de l’art. Les anachronismes numériques, Paris, Connaissances et Savoirs, collection « Art, Philosophie, Humanités numériques », 2014, 210 pages.

Les arts de toute catégorie (peinture, sculpture, installations in situ, architecture, arts du spectacle vivant…) sont omniprésents sur Internet. Les œuvres sont visibles en très haute définition – parfois même en milliards de pixels – jusqu’au moindre détail. Or, la dématérialisation intensive de tous les arts entraîne des révolutions profondes de la perception esthétique, qui sont des formes inédites d’anachronismes de la vision des œuvres. Les technologies de la médiation culturelle des musées (écrans géants et interfaces interactives, applications audiovisuelles pour smartphones et tablettes multimédias…), l’édition logicielle des images d’art ou, entre autres, la reproduction digitale à l’identique des tableaux ou des sculptures au moyen d’imprimantes 3D, induisent de multiples anachronismes de notre vision moderne des arts. Que voyons-nous de l’art, désormais, à travers « l’œil digital » qui s’en est emparé ?

 

L’icouverture du livrenterprétation photographique des arts. Histoire, Technologies, Esthétique, Paris, L’Harmattan, collection « Histoire et Idées des Arts », 2013, 250 pages.

Depuis 1839, date officielle de l’invention du daguerréotype en France, jusqu’à nos jours avec la photographie et la vidéo numériques, les arts de toute catégorie (architecture, arts plastiques, théâtre, danse, performances, installations, Land Art, Street Art) ont été le sujet privilégié des photographes. Mais, bien loin de répondre au seul souci documentaire, les progrès rapides des technologies de l’image ont favorisé le jeu infini des interprétations photo-artistiques de tous les arts, en faisant de la photographie « l’art des arts ». Cet ouvrage explique les développements essentiels depuis 1839 de l’interprétation photographique des arts examinée sous ses trois aspects : historique, technologique et esthétique.

 

couverture du livreLa question du détail et l’art fractal (à batons rompus avec Carlos Ginzburg), Paris, L’Harmattan, collection « Histoire et Idées des Arts », 2011, 280 pages.

La question du sens du détail en art, récurrente dans l’histoire de l’esthétique occidentale, se voit renouvelée par la géométrie fractale et surtout par l’art fractal, tel celui de l’artiste international Carlos Ginzburg dont l’œuvre constitue la « toile de fond » de ce livre. La notion de « détail » y trouve son sens dans le rapport complexe du Tout à la partie, mais aussi dans celui du fini à l’infini, du Sujet au Monde, de la carte au territoire. Cet ouvrage interroge aussi les répercussions de la photographie et de l’image numérique sur la théorie du détail dans l’histoire de l’art, mettant en cause le regard « manipulateur » du spectateur.

 

couverture du livreL’Art dématérialisé. Reproduction numérique et argentique, Bruxelles (Belgique), Mardaga, 2008, 204 pages + 27 illustrations couleur.

Les arts plastiques (dessin, peinture, sculpture) et l’architecture ont eu, très tôt, vocation à être reproduits. Dès la fin du quatorzième siècle, les gravures de reproduction se sont multipliées. L’invention de la photographie argentique, au dix-neuvième siècle, a considérablement amplifié le phénomène de la reproduction, à tel point que notre connaissance des arts du monde entier passe, désormais, par celle de leurs reproductions photographiques. Avec le développement continu de la photo et de la vidéo numériques, et celui des logiciels d’imagerie performants, mais aussi grâce à la diffusion en réseau sur Internet, tous les types d’art, y compris le théâtre et les arts de la scène, appartiennent à l’univers « dématérialisé » du codage digital des images. Ce livre propose, à la fois, un panorama des procédés de reproduction d’art (depuis l’ancienne gravure jusqu’à la photo et la vidéo numériques), et une réflexion appliquée – exemples commentés à l’appui – sur les méthodes essentielles de la reproduction photo-numérique, mais aussi photo-argentique traditionnelle, utilisables pour la reproduction des arts.

 

couverture du livrePhoto-archaïsme du XXè siècle, Paris, L’Harmattan, collection « Champs visuels », 2006, 245 pages.

Après une Préface et une Introduction exposant en quoi la photographie du XXè siècle s’est acharnée, à travers ses pratiques, à nier ou oblitérer ses tendances rétrogrades et archaïsantes, sous couvert d’information, de journalisme, de science (médicale, psychologique, criminologique, etc.) ou d’esthétique, 22 petits chapitres tentent de « remonter le fil d’Ariane » des archaïsmes pratiqués par les photographes et par tous ceux qui ont voulu « faire parler » les images photographiques. Et cela jusqu’à l’avènement de la photographie électronique de la fin du XXè siècle.

 

 

couverture du livreArt fractaliste. La complexité du regard, Paris, L’Harmattan, collection « Champs visuels », 2005, 270 pages (avec 62 illustrationsnoir-et-blanc).

Il existe dans la nature des structures fractales très variées : les ramifications d’un végétal – de la fougère au chou-fleur –, un nuage, un cyclone ou un simple flocon de neige, par exemple. L’art contemporain international s’en inspire depuis les années 1980, donnant lieu à un véritable courant d’art « fractaliste ». Ce livre constitue la première synthèse théorique, en France, de la pensée artistique fractaliste, dans ses rapports avec les sciences modernes de la complexité fractale.

 

 

 

couverture du livreNumériser, Reproduire, Archiver les images d’art, Paris, L’Harmattan, collection « Champs visuels », 2005, 285 pages.

Les images d’art envahissent le Web : site d’art personnels ou collectifs, galeries et musées en ligne, bases de données iconographiques. Elles sont couramment imprimées au moyen de procédés numériques. Les CD ou DVR-Rom consacrés aux arts couvrent toute période, de la Préhistoire à nos jours. – En raison de l’exigence qualitative particulière qu’imposent les images d’art, il est difficile de bien maîtriser les technologies numériques destinées à obtenir des reproductions optimales, aussi bien sur écran vidéo que par impression papier « photoréaliste ». Les problèmes sont variés : définition et résolution, type de compression, formats de fichiers, dynamique, contraste, colorimétrie et gestion des couleurs (moniteur, scanner, imprimante, photoscope), profondeur d’échantillonnage, linéature, archivage et catalogage, etc. Parce que les images d’art représentent un véritable « cas d’école » en la matière, ce livre servira de référence approfondie à tout lecteur concerné, à divers titres, par la numérisation d’images.

 

couverture du livrePhilosophie et Société de l’Information. Pour une philosophie fractaliste, Paris, Ellipses, collection « Polis », 1999, 172 pages. – Traduit et publié en portugais : Filosofia E Sociedade Da informaçao. Para uma filosofia fractalista, Instituto Piaget, Lisbonne, 2001, 192 pages. – Traduit et publié en roumain par l’Institut de Philosophie de l’Université de Bucarest, 2000.

Le plus souvent éloignée d’une prise de conscience de la nécessaire intégration des contenus de connaissance les plus hétérogènes, en provenance des sciences, des technologies et, de manière générale, de tous les médias d’information, la philosophie scolaire et universitaire s’est peu ou prou calcifiée par manque de contact avec la diversité des sources modernes d’information et la cyberculture. – En réaction à l’inhibition philosophique ordinaire à l’égard des contenus d’information extra-philosophiques, extérieurs à l’histoire des concepts appartenant à la seule tradition philosophique, nous croyons avec conviction que l’éducation philosophique des étudiants comme celle des professeurs doit passer par la maîtrise des instruments et des réseaux technologiques d’information, de la cyberculture et de l’Internet en particulier.

 

couverture du livreLes Mémoires de l’art, Préface de François Dagognet, Paris, Presses Universitaires de France, collection « Sciences, Modernités, Philosophies », 1998, 266 pages.

Le legs de l’histoire des arts ne devient véritablement une mémoire culturelle que dans la mesure où il est rationnellement pris en charge par les sciences et les technologies de l’information chargées de le recueillir, de l’organiser, de l’archiver et de le présenter en tant que suite d’événements constitutifs de l’histoire des idées et des techniques de création. L’obsession contemporaine du recensement patrimonial systématique et de la mise en mémoire électronique, s’affirme comme le plus important révélateur du souci hégémonique de réaliser la « métamorphose informationnelle » de tous les types de phénomènes culturels passés, actuels et futurs, traduits sous forme d’ensembles de « données » d’information, archivables numériquement et représentables par les séquences d’unités binaires élémentaires de la mémoire informatique. Depuis le début des années 1990, le développement exponentiel des réseaux informationnels mondiaux, dont l’Internet représente « l’apothéose » technologique en mutation rapide, contribue progressivement à une modification qualitative de la mémoire culturelle des arts et des conceptions esthétiques qui s’y rattachent. En tant que fichiers documentaires, les œuvres participent à la fois de l’abstraction généralisée de l’information numérique et de l’hypertextualité des systèmes documentaires convocables à volonté.

 

couverture du livreEsthétique et Technoscience. Pour la culture techno-esthétique, Bruxelles (Belgique), Mardaga, collection « Philosophie et Langage », 1994, 250 pages.

Il est urgent de s’interroger sur l’apport de la science et de la technologie de l’information dans le domaine de l’esthétique contemporaine, depuis l’apparition du traitement de l’information numérique et de la cybernétique. La pratique des arts devient de plus en plus souvent de nature techno-scientifique : infographie 2D et 3D, réalités virtuelles, sculpture numérique, design informationnel, holographie, littérature informatisée, synthèse des sons musicaux. – L’esthétique n’est plus restreinte au cercle du beau idéal et de la métaphysique : elle ne craint pas de s’affronter aux technosciences dont elle tire un profit original. Mais la technoscience ne dispense pas les artistes (qui sont aussi parfois des spécialistes de la technologie) de réfléchir aux finalités humanistes des sciences et des techniques qu’ils utilisent, en vue d’une véritable culture techno-esthétique.

 

couverture du livreEsthétique du Photoroman, Paris, Édilig, collection « Médiathèque », 1983, 223 pages.

Art populaire né après la Seconde Guerre mondiale, le photoroman a su imposer avec succès ses codes photographiques et son style narratif original. C’est un véritable phénomène de culture, au même titre que le cinéma, la bande dessinée ou la peinture. Paradoxalement, et malgré son importance très grande pour la culture populaire, il n’existait pas d’esthétiqude de fond portant sur le photoroman. Cet ouvrage a voulu remédier à cette lacune. – D’ailleurs, le photoroman n’est pas une forme d’art sclérosée, ou destinée à conserver sans innovation ses techniques traditionnelles d’association des photos et des textes. À côté de ces formes populaires habituelles de photoromans, d’autres essais de mise en relation des photos et des textes, beaucoup plus artistiques et créateurs, renouvellent le genre photoromanesque. Les voies artistiques futures du photoroman sont ouvertes.

Traduction

couverture du livre

*Heinrich Wölfflin, Comment photographier les sculptures (1896, 1897, 1915), Présentation, traduction et notes, avec fac-similé des textes en allemand, Paris, L’Harmattan, collection « Histoire et Idées des arts », 2008, 96 pages.

Les trois articles peu connus – pour la première fois traduits en français et réédités en fac-similé – du célèbre historien de l’art suisse de langue allemande, Heinrich Wölfflin (1864 – 1945), intitulés Comment photographier les sculptures, furent publiés en Allemagne, à Leipzig, en 1896, 1897 et 1915. L’intérêt de ces textes est capital, puisqu’ils témoignent, pour la première fois dans l’histoire de l’art, d’une réflexion critique novatrice concernant la reproduction photographique des œuvres d’art anciennes. Les images photographiques conditionnent aussi bien l’interprétation historique que la perception esthétique des œuvres d’art, et donc leur « réception » culturelle. Les techniques de traduction photographique influencent, notamment, le type de compréhension que la postérité peut avoir de l’art ancien. – Heinrich Wölfflin annonçait, à travers ces réflexions critiques sur la photographie des sculptures (et plus généralement des arts plastiques), certains développements consacrés par la suite à ce phénomène, par Walter Benjamin et André Malraux, au vingtième siècle.

Choix d’articles

1. Esthétique, théories de l’art, technosciences

« Les images fractales, modèles artistiques d'objets scientifiques », Revue d'art "Correspondances" n°3, éd. de l'UFR des Arts de l'Université de Strasbourg-II, p. 41-51, 1990 (actes du colloque d'avril 1989, UFR Arts, Les Nouveaux Objets artistiques).

« Images fractales : biogénétique des images en restructuration continue », in Les Figures de la Forme, éd. L'Harmattan, Paris, p. 283-295, 1992 (actes du colloque international "Les Figures de la Forme", Université de Dijon, novembre 1990).

« Le détail et l'idéal en peinture – Esthétiques comparées de Diderot et Baudelaire », Revue d'art Correspondances n°4, éd. de l'UFR des Arts de l'Université Marc Bloch (Strasbourg), p. 92-104, 1992.

« En quel sens peut-on parler d'une Esthétique fractaliste ? » in Littérature et Théorie du Chaos, T.L.E., éd. Presses Universitaires de Vincennes, Université Paris VIII, p. 115-140, 1994.

« Le Chaos créateur », Préface (p. 13-27) du livre de l'artiste fractaliste américain Edward Berko Sur le Mur, éd. La Différence, Paris, 1994.

« L'Art et le Politique », in Philosophie de l’Art, éd. Ellipses, Paris, 1998 (sous la direction de R. Quilliot), p. 221-237.

« Carlos Ginzburg –  La complexité autoréférentielle du Sujet fractal », revue La Mazarine, éd. du Treize Mars, Paris, septembre 1998, p. 112-114.

« Temps chaotique et complexité fractale dans Arcadia (1993) de Tom Stoppard », in Temps scientifique, Temps théâtral, éd. C.R.D.P. de Franche-Comté, Besançon, 2001, p. 187-206.

« Art et théorie de l’information dans l’œuvre d’Abraham Moles », Revue en ligne canadienne Archée(Cyberart et Cyberculture artistique), 2001, <http://archee.qc.ca>.

« Quelle esthétique pour les arts numériques ? – Réflexion sur les origines et le sens esthétique des arts numériques », Revue en ligne canadienne Archée(Cyberart et Cyberculture artistique), 2001, <http://archee.qc.ca>.

« Statut documentaire et médiologie du spectacle vivant sur Internet », Revue en ligne canadienne Archée(Cyberart et Cyberculture artistique), 2002, <http://archee.qc.ca>.

« Statut documentaire et médiologie du spectacle vivant sur Internet », in Théâtre et nouvelles Technologies, Éditions Universitaires de Dijon, collection Écritures, Dijon, 2006, p. 189-202.

« L’Approche de l’art d’un point de vue fractaliste », in Revue Tangence, numéro 69, été 2002, Université du Québec, p. 103-132.

« L’œuvre peinte et ses photodramaturgies – Voir les tableaux en lumière artificielle », in Revue Technènuméro 15 (La vision des œuvres), Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France, Ministère de la Culture, 2è semestre 2002, Paris, p. 39-48.

« Penser l’identité politique à l’ère d’Internet et des technologies de l’information », in La Pensée politique, éd. Ellipses, Paris, 2003 (sous la dir. d’Eric Zernik), p. 393-411.

« Du point euclidien au nuage fractal. Matrices génétiques du détail », revue KTÈMA (Civilisations de l’Orient, de la Grèce et de Rome antiques), N° 37, in Actes du colloque international : Le détail dans les cultures visuelles (Antiquité-XXIe siècle), UMR 7044 (Archimède), 16-17 mars 2012, Université de Strasbourg (MISHA, Alsace), décembre 2012, p. 409-421.

« Images d’œuvres : du photographique au numérique », conférence Journée d’étude INHA, Paris (Institut National d’Histoire de l’Art) : L’utilisation du numérique en histoire de l’art et en histoire littéraire, I.N.H.A., 2 juin 2010.

« Le Corbusier et le Modulor - Une utopie à l'échelle humaine », in Les Cahiers Philosophiques de Strasbourg, n° 34, second semestre 2013, Université de Strasbourg, p. 109-121.

« Du dépassement de l’art au dépassement du politique. Guy Debord et le Situationnisme »,Journée d’études doctorales L’Art et le Politique, 22 février 2013, Faculté de Philosophie de Strasbourg.

« L’Art en pixels – La mémoire analytique des arts », Revue d’art numérique en ligne RADAR, Faculté des Arts de l’Université de Strasbourg (Master Design / Master Critique-Essais), février 2016, <www.revue-radar.fr>.

2. Histoire et épistémologie des mathématiques (orientation : Analyse non-standard)

« Le Continu mathématique du Troisième ordre chez Henri Poincaré », in La Mathématique Non Standard, éd. du C.N.R.S., Paris, 1989, p. 83-116.

« Continu naturel et continu mathématique chez Cournot – Le problème du continu et le calcul infinitésimal chez Cournot », Les Cahiers Philosophiques n°52, éd. du C.N.D.P., Paris, octobre 1992, p.25-58.

« Les Nombres inaccessibles dans l'œuvre d'Emile Borel (1871-1956) – Borel lecteur de Cantor », Les Cahiers Philosophiques n°61, éd. du C.N.D.P., Paris, décembre 1994, p.7-49. – Réédition in Les Cahiers Philosophiques n°91, éd. du C.N.D.P., Paris, juin 2002, p. 30-63.

« La Science hellénistique de la Mesure au IIIe siècle. – Aristarque, Eratosthène, Archimède », Les Cahiers Philosophiques n°70, éd. du C.N.D.P., Paris, mars 1997, p. 81-144.

« Bertrand Russell, logicien critique des infinitésimaux », Les Cahiers Philosophiques n°75, éd. du C.N.D.P., Paris, juin 1998, p. 87-125.

« D’Alembert et le calcul infinitésimal – Analyse des limites vs Analyse infinitésimale », Les Cahiers Philosophiques n°79, éd. du C.N.D.P., Paris, juin 1999, p. 5-39 (et conférence sur ce sujet au Palais Universitaire de Strasbourg en 2000).

« Le Système métrique – Une utopie philanthropique », in Tome V (L'Alsace et l'Europe au moment de la Révolution française) du collectif La Révolution française et l'Alsace, éd. Vive 89 en Alsace, 68700 Cernay (sous la direction de M. Kieffer, Directeur de Recherche au C.N.R.S.), 1994, p. 105-110.

Travaux en cours

  1. Livre : L’Art sans présence. Le destin immatériel des arts, à paraître fin 2017/début 2018.
  2. Traduction commentée d’un texte latin-allemand d’Eckhart.

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